Nouvelle illumination
Comestible, il se rencontre dès le début de l’été et en automne, sur terrains gras comme celui-ci en lisière de forêt.
Entre Lucey et Laneuveville-derrière-Foug, paysage champêtre avec un trés beau pied de vipérine commune.
Pas trés sauvage ce pic eipéche, par cette fin de matinée chaude de printemps.
Etang Saint Pierre au val de Passey (Val de la Paix) où un balbuzard pêcheur n'attendait pas l'ouverture pour se régaler de poisson.
Il aime les sous bois frais et légérement ensoleillés ; arum en fleur et en fruit.
Ce juvénile de buse variable, pas trés sauvage, prenait tranquillement ses poses, comme un mannequin, mais lorsque cela durait trop longtemps, passait d'un poteau à un autre. Je ne sais pas si les mannequins font cela aussi ?
Je suis vraiment beau, ne trouvez vous pas ? Mon regard d’émeraude, mon poil rouquin fourni, mon poitrail blanc, mes moustaches, ma petite et brillante truffe noire et humide, je suis un Goupil dans toute sa majesté, avec mon coté fripouille et rusé.
Présent toute l’année, celui çi (mâle en haut-femelle en bas) va vers la nourriture en hiver, au pied de la mangeoire. Le pinson du nord l'y rejoint parfois.
Cet oiseau nordique visite parfois l’hiver le Lac de Madine. Il est resté trois semaines dans le canal de la Marne au Rhin à Foug. Il a mordu aux hameçons de pêcheurs de brochets et son dernier hameçon lui a généré un abcès bien visible et le fil de pêche...
Il a exité au moyen âge à Foug, un moulin banal ( les habitants ne peuvent aller moudre leurs grains à un autre moulin que celui désigné par le seigneur, sous peine d'amende), fonctionnant avec es eux des sources des Lavaux.
Sans doute une plante de jardin, jetée dans la nature.
Sans intérêt gustatif, on le rencontre sous les pins, les mélèzes et les ifs, vers la fin de l’été et en automne.
Par un après midi trés chaud de mai, il se bronzait près de la pelouse calcaire. Il habite des milieux variés, mais bien exposés au soleil et de préférence sur un substrat solide.
Benoîte rampante Houx Oxalis petite oseille
Foug /
La tendresse maternelle et la douceur infantile à l’état pur. Admirez, faites silence et faites respect devant ce tableau tendre et touchant.
Ce papillon qui ressemble à un éclat de bois, aime les bois, les vergers et les parcs.
Glissant entre les nuages, un rayon de soleil pâle tournait sur les champs, faisait sortir des brumes les fermes lointaines. Et le cri des alouettes trouait le ciel. Emile Moselly
recto ê é verso
Le son particulier lorsqu'on se promène dans cette vallée, due au travail d'érosion de la Moselle, c'est le chant permanent de l'Alouette des champs. C'est le marqueur de la vallée.
Sur la pelouse calcaire, le sol est presque aride et avec le manque de pluie depuis un certain temps, le lychnis n'arrive pas à avoir sa belle couleur rose.
Oui, on est fachés, on boude et alors ?
Tout comme l'être humain, le coquelicot a une vie et une fin de vie.
Tire toi le photographe, t'est en plein dans ma piste de décollage et je décolle...